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Posted: Wed 10:49, 11 Sep 2013 Post subject: peuterey outlet Les Bourses mondiales risquent la |
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Un chiffre donne la mesure du phénomène : depuis le 1er janvier, quelque 42 milliards de dollars (31 milliards d'euros) ont afflué vers les fonds en actions dans le monde, du jamais-vu depuis l'éclatement de la bulle Internet [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] en 2000, et 1,5 fois le précédent record de 2011 !
Mais c'est surtout en [url=http://www.artshotel.org/artedge/home.php?mod=space&uid=14062][/url] que le rally boursier semble construit sur du sable. Sur le Vieux Continent, "la croissance est faible voire négative, les banques vont toujours [url=http://www.rathmell-arch.co.uk/hollister.html]hollister uk[/url] mal, les déficits publics et l'endettement des ménages restent importants", s'alarme M. Artus. [url=http://www.buynflticketsonline.com]NFL Tickets[/url] Pour lui, "la question n'est pas de si la bulle européenne éclatera, mais ce qui la fera éclater". Regain d'inquiétude sur les chiffres du ch?mage, soudaine embardée d'une banque d'Europe du Sud, difficultés de à son économie à flot...
Les dernières semaines ont conforté ce sentiment. Les accords à l'arraché obtenus entre républicains et démocrates américains sur le fiscal cliff ("précipice budgétaire") puis le plafond de la dette, mais aussi les nouvelles rassurantes sur le front de la croissance aux Etats-Unis et en , ont porté les investisseurs.
Même à Londres, Madrid ou Milan, où les marchés sont loin d'égaler leurs records, les indices affichent des bonds de 6 % à 10 % depuis le début de l'année. "Les marchés défient la gravité", résume , président du cabinet PrimeView.
Enfin, plus des deux tiers des majors américaines qui ont publié leurs comptes 2012 sont passées haut la main sous les fourches caudines des prévisions des analystes, selon les calculs de [url=http://axiange.com/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=40149]mulberry sale La mobilisation des producteurs de lait samplifie dans lUE[/url] la société de Aurel BGC, achevant de le aux investisseurs.
"Le rendement des actions européennes, dividende inclus, dépasse aujourd'hui les 4 %, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] alors que les emprunts à dix ans fran?ais ou allemands plafonnent autour de 2 %", note Frédéric Jamet, chez , le deuxième plus gros gérant d'actif au monde.
Trop, peut-être. Il n'est plus un courtier, banquier ou gérant qui ne conseille à ses clients de se sur les actions. Personne ne veut la hausse... Au risque que celle-ci ne soit plus alimentée que par elle-même. "Les investisseurs ont décidé d' tous les facteurs de risques [...]. Il s'agit précisément des caractéristiques d'une bulle", assène , patron de la recherche économique chez Natixis. Le mot est l?ché.
D'autant que les actions, avec leurs dividendes généreux, constituent aujourd'hui le placement le plus rentable. Après des mois à les yeux de Chimène aux emprunts des Etats et des les plus solides, jugés sans risque au milieu des turbulences économiques et financières, les investisseurs se détournent de ces . Et redécouvrent le charme des actions, plus risquées mais ? combien plus rémunératrices.
"Le S & P 500 a gagné en un mois la moitié de ce que nous lui prédisions pour l'année. On peut se s'il n'est pas allé trop haut", abonde Mathieu L'Hoir, stratégiste [url=http://www.rivaluta.it/css/moncler.html]moncler outlet[/url] chez AXA IM. D'autant que les actions ne sont plus si bon marché : le S & P 500 [url=http://www.re-tek.co.uk/abercrombie.html]abercrombie uk[/url] se paye 14,5 fois les bénéfices des entreprises attendus en 2013, à avec une moyenne historique de 12 à 15 fois.
"LE RENDEMENT D?PASSE LES 4 %"
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A comme à Francfort, les Bourses tutoient leurs plus hauts historiques. L'indice S & P 500, qui reflète la performance des plus grandes s américaines, dépasse les 1 500 points. Il n'est plus qu'à 4 % de son record d'octobre 2007. A Francfort, à peine 3 % séparent le Dax, l'équivalent allemand du CAC 40, de son sommet de juillet 2007. Une période où dominait le paysage bancaire mondial, et où l'idée même d'une disparition de l'euro relevait de la science-fiction...
la crise, les marchés font [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] aujourd'hui l'objet d'un engouement nouveau. Là où leurs soubresauts faisaient jour après jour la finance, du trader américain au petit épargnant grec, voilà qu'en ce début 2013, ils volent de record en record.
L'EFFET MARIO DRAGHI
A ces éléments macroéconomiques s'en ajoutent d'autres, plus techniques : les monceaux de liquidités déversés sur les marchés par les principales banques centrales dans le but de des économies convalescentes. Les prêts à trois ans accordés aux banques par la BCE pour dégripper le système bancaire ont fait plus de 1 000 milliards d'euros dans le système. La Réserve fédérale américaine, qui s'est engagée à chaque mois 85 milliards de dollars (63 milliards d'euros) de titres tant que le taux de ch?mage ne repassera pas en dessous de 6,5 % – il atteint 7,8 % début 2013 –, et désormais la Banque [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] du abreuvent par ricochet les marchés.
Si les investisseurs voient rose, c'est d'abord gr?ce à , le patron de la Banque centrale européenne (BCE). En assurant à l'été 2012 que son institution ferait "tout ce qui est nécessaire" pour l'euro, puis s'octroyant sous certaines conditions la possibilité de la dette des pays en difficulté, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] le flegmatique Italien a su les investisseurs de contre les Etats les plus fragiles. Et donné une bouffée d'air aux Bourses mondiales. "Quand vous marchez au bord du précipice pendant des années, le simple fait de vous en éloigner un peu suscite de l'optimisme", souligne M. Sabatier.
De quoi les investisseurs nerveux. "Il ne faudrait pas que des événements exogènes, comme de nouvelles difficultés sur le plafond de la dette ou un regain de tension en zone euro, leur fassent confiance. Le marché pourrait alors brutalement", avertit l'expert. Même les économistes et les banquiers centraux américains commencent [url=http://www.mylnefieldanalysis.co.uk/barbour.html]barbour outlet[/url] à évoquer des risques [url=http://www.buynflticketsonline.com]Cheap NFL Tickets[/url] de surchauffe. L'hypertrophie du bilan de la Fed - 3 000 milliards de dollars d'actifs ! - et sa de taux bas - à laquelle de son comité de [url=http://www.njnight.net/home.php?mod=space&uid=34119][/url] politique monétaire les 29 et 30 janvier ne devrait rien - ne finiront-elless pas par à la tête des investisseurs ?
Au final, les observateurs s'accordent à que l'état de gr?ce devrait encore... un peu. "La hausse peut une partie de l'année, mais on risque un retour de b?ton au second semestre, quand les investisseurs se rendront compte que l'économie européenne est encore loin d'être guérie", conclut M. Sabatier. La chute pourrait être rude. C'est bien connu, les marchés boursiers font rarement dans la nuance.
"ON RISQUE UN RETOUR DE B?TON AU SECOND SEMESTRE" |
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