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clkelyqld2
PostPosted: Mon 4:49, 21 Oct 2013    Post subject: barbour factory shop AS Monaco la méthode Ranier

Le groupe toscan ressemblait énormément à celui de Monaco. Des cadres et des jeunes unis par un traumatisme...
L'homme construit, b?ti, met en place un esprit combatif, joueur et quand il est susceptible d'en récolter les fruits, on [url=http://www.davidhabchy.com]barbour factory shop[/url] lui demande [url=http://www.tagverts.com/wellensteyn.php]wellensteyn jacken[/url] de partir.
Il a lancé Fabio Cannavaro

Actuellement, un Tisserand ou un Kurzawa peuvent se l?cher car ils savent qu'un Abidal ou un Carvalho veillent au grain derrière. C'est donnant-donnant. Avec son staff élargi et sa zen attitude, Ranieri préfère bosser dans le calme. Pas de vague. Pas de sorties médiatiques en conférences de presse, tout est sous contr?le. Le coach au regard espiègle est [url=http://www.sidegemeinde.com/moncleroutlet.php]moncler[/url] un homme de peu de mots. ? Quand je dis quelque chose, c'est au joueur d'entendre ? a-t-il l?ché la semaine dernière en conférence de presse. Même lorsqu'il coachait des grosses écuries italiennes, l'entra?neur transalpin détestait les envolées nerveuses. Ce n'est pas son truc. De lui, la botte a surtout retenu une citation qui caractérise parfaitement le bonhomme : ? Ma vie entière est un derby. Le derby, à certains égards, est le match le plus facile parce que l'enjeu est tellement connu par la ville et les fans que l'entra?neur a simplement besoin de contr?ler ses émotions. ?
C'est oublié le chemin parcouru par l'Italien depuis ses débuts sur un banc de touche. C'était dans la chaleur de Cagliari, en Sardaigne. Le club était alors en Serie B. Deux ans plus tard, le club [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] était en Serie A avec un certain Enzo Francescoli en numéro 10. Elle est là, la marque de fabrique du Mister. Un [url=http://www.osterblade.com]moncler outlet[/url] homme surnommé le ?b?tisseur? dans le milieu. Même si son palmarès ne reflète pas son talent (une Coupe [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey outlet[/url] d'Italie et une Coupe d'Espaggne), il faut reconna?tre à l'Italien une certaine qualité : il sait construire. Le FC Valence de Cuper, le Chelsea de Mourinho, la Juventus de Conte, toutes ses équipes victorieuses sont d'abord passées [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] entre les mains de Ranieri. Tout sauf un hasard.


Pour l'instant, son parcours monégasque ressemble [url=http://www.sidegemeinde.com/moncleroutlet.php]moncler outlet[/url] étrangement [url=http://www.sidegemeinde.com/woolrichoutlet.php]woolrich outlet[/url] à son [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti pas cher[/url] aventure florentine. En 1993, lorsqu'il prend en main la Fiorentina, le club le plus romantique d'Italie vient de descendre en Serie B. Ranieri exige de ses dirigeants une seule chose : garder la star locale, Gabriel Batistuta. Deux saisons plus tard, la Fio' termine sur le podium de Serie A et Batigol enfile [url=http://www.casa-polis.com/woolrichdoudoune.html]doudoune woolrich pas cher[/url] les buts. Ranieri a remis sur pied un géant malade. Tiens, tiens...
? Avec l'entra?neur, les choses sont simplesavoue Mounir Obbadi. Le jeu doit passer par le sol, de manière directe et on cherche à se projeter le plus rapidement possible, notamment sur les c?tés?. Même dans sa manière de composer son groupe, la méthode reste la même depuis trente ans. Des cadres expérimentés pour [url=http://www.fayatindia.com/parajumpers.html]parajumpers pas cher[/url] pouponner des jeunes pousses. Dans tous ses clubs, il a appliqué cette manière de penser. A Rome, les Totti, De Rossi, Perrotta devaient encadrer le petit frère Burdisso ou un Jérémy Menez. Idem à Valence où Djukic, Angloma, Canizarès et Carboni étaient censés dicter la marche à suivre.



Six victoires, trois matches nuls, meilleure défense, meilleure attaque, meilleur buteur et meilleur passeur de Ligue 1. Après neuf journées, l'AS Monaco a tout bon. Et même si le porte-monnaie de Dmitry Rybolovlev a grandement facilité la chose, la patte Claudio Ranieri, l'entra?neur italien arrivé en 2012, est de plus en plus palpable.
Parce que Ranieri n'est pas vendeur. C'est un besogneux. Un entra?neur qui ne prend pas la lumière. Ou rarement. Pourtant, il a quelque chose. Un homme qui a lancé dans le grand bain un certain Fabio Cannavaro au Napoli ou installé John Terry comme titulaire à Chelsea a forcément quelque chose. Cette chose, c'est un projet de jeu.

Parfois, on s'imagine que le marché des transferts guide parfois une composition d'équipe.

Un homme de peu de mots
Neuf matches de Ligue 1 ont suffi pour faire de l’entra?neur expérimenté une valeur s?re. Un homme qui n’a jamais changé ses principes de jeu ni son envie de rester dans l’ombre
Comprendre que les plus gros transferts sont titulaires.




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