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La semaine a été particulièrement meurtrière en Afghanistan. Les [url=http://www.mylnefieldanalysis.co.uk/barbour.html]barbour factory shop[/url] attaques se multiplient. Des marines ont tiré sur une manifestation de civils dans la province du Helmand.

La France est en guerre en Afghanistan. La mort, cette semaine, de trois militaires fran?ais rappelle au pays l’implication de Paris dans un conflit aussi meurtrier qu’imprévisible, tant sur le terrain afghan que régional. Lundi, un sergent-chef et un capitaine ont été pris dans une embuscade à une cinquantaine de kilomètres au nord-est de Kaboul. Mercredi, un autre sous-officier a été victime d’un explosif improvisé (IED) dans cette même région, dans la province de Kapisa, où les [url=http://www.mansmanifesto.com]www.mansmanifesto.com[/url] troupes fran?aises se sont déployées à l’été 2008. Deux autres soldats de l’équipe de liaison et d’encadrement du 35e bataillon de l’armée afghane ont été blessés.
huit Manifestants [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] tués
Le même jour, l’armée afghane et des marines américains ont ouvert le feu sur une foule de 200 à 400 civils regroupés devant l’entrée d’une base militaire du Helmand, dans le sud du pays. L’information n’a été divulguée qu’hier et, selon l’Otan, cinq civils au moins ont été [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry outlet[/url] blessés. Il s’agit du second incident du genre survenu en l’espace de quarante-huit heures dans la région de Garmsir, dans le Helmand. Des responsables afghans ont [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] déclaré pour leur part que des soldats afghans avaient tué huit [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] manifestants. Dans le même temps, selon les décisions d’Obama d’intensifier le conflit, une nouvelle attaque de drones américains visait, jeudi, au Pakistan, le chef des talibans alliés à al-Qaida, [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] Hakimullah Mehsud. Selon la version officielle, l’attaque a fait au moins dix morts [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]hogan outlet[/url] dans un camp d’entra?nement d’insurgés islamistes d’un district tribal frontalier de l’Afghanistan, dans le Waziristan du Nord. Ce type d’attaque s’est multiplié ces dernières semaines et malgré les communiqués de victoires de l’état-major américain, l’insurrection intégriste ne faiblit pas.
La maison-blanche décide
En annon?ant, le 1er décembre, l’envoi de 30?000 hommes supplémentaires, le chef de la Maison-Blanche a donné un tour nouveau à la guerre déclenchée en [url=http://www.rivaluta.it/css/moncler.html]moncler outlet[/url] 2001. Guerre dans laquelle les ?tats-Unis entendent [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] garder la main, faisant de leurs alliés des supplétifs écartés de toute décision stratégique. Le général McChrystal, qui veut un renfort total de 40?000 soldats, a réclamé à l’Otan 5?000 à 7?000 soldats de plus en 2010.
Barack Obama a directement demandé à l’?lysée de monter à 1?500 le nombre de soldats fran?ais qui seraient prochainement [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] dépêchés. La décision devrait être annoncée le 28 janvier. Nicolas Sarkozy, en position de suiveur, a réaffirmé [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] son engagement en Afghanistan. Mais sans ouvrir des perspectives politiques pour sortir de l’engrenage, l’escalade du tout-militaire à laquelle se livre Washington est dans l’impasse .
Dominique Bari
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clkelyqld2 · Posted: Fri 7:14, 13 Sep 2013 Post subject:

A l'opposé, républicains et milieux [link widoczny dla zalogowanych] patronaux veulent à profit cette situation pour négocier avec la Maison Blanche des "concessions majeures", comme pr?ne Arthur Laffer, un ex-conseiller de Ronald Reagan et récent coauteur du livre Retrouver la prospérité (Return to Prosperity, Threshold ed., 2010). Suivant cette ligne, les deux hommes forts des républicains à la Chambre, son président John Boehner et celui de [link widoczny dla zalogowanych] la commission du budget, [link widoczny dla zalogowanych] Paul Ryan, récusent donc tout refus de principe d' temporairement les déficits.
Même la fondation du milliardaire , qui [link widoczny dla zalogowanych] lutte contre les déficits, appelle à ne pas avec le feu. Mais tous pr?nent de bataille pour une hausse de la dette à [link widoczny dla zalogowanych] l'abandon par l'administration [link widoczny dla zalogowanych] Obama de pans entiers de ses réformes (assurance santé, secteur bancaire, etc.). Bref, on entre dans une joute où la manoeuvre autour d'un compromis sera prépondérante. Et où, par contrecoup, la frange du hostile à tout relèvement du [link widoczny dla zalogowanych] plafond se [link widoczny dla zalogowanych] retrouve marginalisée.
Emoi sur les marchés : Washington pourrait la note AAA de sa dette être dégradée, ont indiqué les deux agences de notation Moody's et Standard & Poor's le jeudi 13 janvier. "En se dirigeant vers plus de subventions à l'économie, les Etats-Unis prennent exactement le sens inverse à leur rétablissement financier. Sans mesures pour résorber le gonflement de leur dette, la probabilité que nous soyons amenés (à sa note) dans les [link widoczny dla zalogowanych] deux ans ira croissant", a déclaré Steven Hess, principal analyste chez Moody's. Carol Sirou, qui dirige Standard & Poor's France, a eu ces mots : "On ne peut la possibilité qu'un jour nous devions notre perspective."
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Pour autant, personne n'imagine que, dans un délai rapproché, les investisseurs internationaux perdent toute confiance dans les obligations américaines ni que Moody's, qui a toujours alloué la note maximale aux Etats-Unis depuis 1917, se comporte demain à leur égard comme elle l'a fait avec la .
Dès lors, les analystes se sont plus [link widoczny dla zalogowanych] émus du "moment" choisi pour énoncer ces commentaires que de leur contenu.
Dès lors, pourquoi Moody's et Standard & Poor's sont-elles intervenues ? Pour créer la panique quant à l'accroissement immédiat du déficit, "exactement ce sur quoi insistent les tenants du Tea Party", y a vu l'analyste du Times. Mais la plupart des autres y ont lu l'inverse. Les marchés, disent-ils, poussent à un accord bipartisan afin que soient adoptées au plus vite les recommandations de la commission Simpson-Bowles sur la réforme budgétaire. Pour mémoire, son rapport, à la mi-novembre 2010, pr?nait de résorber le déficit budgétaire en utilisant deux leviers : dans les dépenses, réinstaller certains abandonnés et créer de nouvelles taxes. Selon ce point de vue, les marchés, pragmatiques, seraient plus éloignés de la rhétorique "anti-étatiste" qu'on ne le pense.
Ce n'est pas la première fois que les agences s'alarment. En 2010, , qui dirige le comité de notation de la dette souveraine chez Standard & Poor's, [link widoczny dla zalogowanych] rappelait qu'"aucun AAA n'est éternel". Décati mais encore écouté, l'"" Alan Greenspan, ex-patron de la Réserve fédérale (Fed, la banque centrale américaine), prévoyait début janvier une "crise de la dette [link widoczny dla zalogowanych] (d'ici) deux et trois ans".
Après l'interruption due à la tuerie de Tucson (Arizona), le Congrès reprend cette semaine ses travaux. Or ceux-ci seront dominés, dans l'immédiat, par le problème du relèvement du plafond de la dette publique. Celle-ci, qui atteint 13 960 milliards de dollars (10 470 milliards d'euros), se creuse chaque jour de 3 à [link widoczny dla zalogowanych] 4 milliards de dollars supplémentaires. A ce rythme, a indiqué le secrétaire au trésor, , [link widoczny dla zalogowanych] son "plafond" - situé à 14 290 milliards de dollars depuis un vote du Congrès en février 2010 - sera atteint au mieux à la mi-mai, au pire le 31 mars. Dans une lettre envoyée aux élus, le 12 janvier, il les conjure de se "responsables" : empêcher le gouvernement de s' serait "potentiellement plus douloureux pour l'économie américaine que les effets de la " récente.