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Les attaques contre la profession ont [url=http://www.iamgeno.com/archives/556.html/comment-page-1#comment-260383]Zuma fait de la lutte contre la pauvreté la priorité de son programme[/url] été virulentes, comme celle de Martin Hirsch, ex-Haut commissaire aux solidarités actives, qui pr?nait une suppression de la visite médicale, tout comme le second volet du rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) sur le Mediator remis en juin. Ce n'est pas l'option qu'a choisie Xavier Bertrand dans son projet de loi sur le médicament, [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister uk[/url] dont les députés ont bouclé l'examen dans la nuit de mercredi à jeudi. Le ministre de la santé préconise la transformation de la visite médicale à l'h?pital, avec des présentations collectives au lieu d'entretiens en tête à tête - l'expérience va être menée pendant trois ans. Il propose également de protéger les visiteurs médicaux lanceurs d'alerte, qui font les effets secondaires des médicaments.
Sur le terrain, la tension est perceptible. Certains médecins claquent la porte aux VM. " Je ne re?ois pas de visiteurs médicaux, je n'imagine pas de un patient avec retard parce que j'aurais un rendez-vous avec un visiteur médical", explique Sylvie [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]www.par5club.com/louboutin.php[/url] Sastre, médecin rempla?ant. Une tendance que l'affaire du Mediator a amplifiée.
verbalement par des patients : " représentez les [url=http://www.anepf.fr]doudoune moncler[/url] labos !" Avec ou sans rendez-vous, les visiteurs médicaux (couramment appelés VM dans la profession), chargés de la promotion des médicaments pour le compte de l' pharmaceutique, sollicitent les médecins. Guère reluisante dans l'opinion, leur image a été un peu plus ternie avec l'affaire du .
TENSION SUR LE TERRAIN
La [url=http://www.hopeforallmissing.org/#comment-94148]The Ultimate Fashion Statement To Wear A Black Diamond Ring[/url] diminution des effectifs de visiteurs médicaux est aussi liée à des mutations profondes de l'industrie pharmaceutique. La fin des brevets des blockbusters, ces médicaments massivement commercialisés, et l'arrivée des génériques ont changé la donne. Dès qu'un médicament tombe dans le domaine public et perd son brevet, il peut être copié et vendu moins cher. Explication : "Lorsque le Plavix - le 4e médicament le plus vendu au [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] monde pour lequel il y avait 400 visiteurs médicaux de chez Sanofi Aventis - utilisé pour la prévention de la thrombose, a été "génériqué", on a cessé de des informations sur ce médicament en ne visitant plus les médecins. Tous les VM se sont insurgés contre cela car le médecin doit être informé, explique M. Fourmal. Les laboratoires ne voulaient pas présenter les médicaments qui ne dégageaient pas suffisamment de marges."
Mise en cause et en perte de vitesse, la visite médicale n'est plus un canal d'information essentiel pour les médecins. Les médicales indépendantes et les sites Internet, se sont fait une place au soleil.
Tous les médecins [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister outlet[/url] ne sont pas aussi catégoriques. "Il y a un intérêt indéniable en termes de formation continue des médecins, par exemple pour et des indications pratiques sur la fa?on de un nouveau médicament, tempère Suzette Delaloge, cancérologue à l'Institut Gustave Roussy [url=http://www.anepf.fr]doudoune moncler pas cher[/url] (IGR), à Villejuif (Val-de-Marne). Mais l'encadrement de cette profession est encore très insuffisant.""En cancérologie, la prescription de médicaments est régulée [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]www.thehygienerevolution.com/hollister.php[/url] par les études plus que par les [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] visiteurs médicaux", ajoute Fabrice André, également cancérologue à l'IGR.
Dénon?ant les amalgames, le Leem (le syndicat des du médicament), rappelle que "la visite médicale consiste à délivrer aux professionnels de santé une information médicale de qualité sur le médicament, et à en le bon usage". Une charte a été signée en 2004. Mais c'est la théorie. En pratique, "cela reste un boulot de commercial", tranche un salarié de MSD Chibret, filiale des laboratoires Merck.
"Nous sommes toujours sur le fil, entre information et promotion ", lance un visiteur médical qui exerce depuis seize ans mais veut anonyme par crainte de son . "C'est une profession qui va mal depuis des années, et je crains qu'elle n'existe plus d'ici deux à trois ans", avertit Gérard Fourmal, visiteur médical depuis 1973 chez Sanofi Aventis et [url=http://www.ttcarpets.co.uk]mulberry outlet[/url] président du [url=http://www.tryact.sakura.ne.jp/shitamachi/honey/honey.cgi/etspenaous/forum/honey.cgi%22]hollister outlet Palm Springs[/url] syndicat Usapei. Il faut que le nombre des [url=http://www.corsodiesperanto.it/peuterey.php]peuterey outlet[/url] visiteurs médicaux a chuté de 25 % en six ans, passant de 24 000 en 2004 à 18 300 en 2010. Il devrait 15 000 d'ici à 2014.
Le Monde.fr a le plaisir de vous la lecture de cet article habituellement réservé [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]www.mxitcms.com/abercrombie/[/url] aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] réservés du Monde.fr en vous
L'?ge d'or de la profession, il y a une vingtaine d'années, est désormais loin. "Tous les moyens étaient permis, les visites se passaient à qui mieux mieux. Certains labos offraient des voyages aux médecins avec de l'argent de poche, les médecins disaient : "qu'est-ce que vous nous offrez ?" Au moment du lancement du Prozac en 1986, on s'était fait des primes considérables", raconte ce salarié de Lily France. Aujourd'hui, la loi interdit les . La profession souffre aussi du soup?on sur le caractère scientifique de son discours.