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Le modèle s’est b?ti dans un contexte de consommation forte et de concurrence faible. Aujourd’hui ces paramètres se [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] sont inversés. Les grandes surfaces spécialisées (dans le sport ou le bricolage), [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] le maxidiscompte ou encore des formats de proximité ont mieux su s’adapter au vieillissement de la population, à la multiplication des foyers unipersonnels et, plus récemment, à la pression sur le pouvoir d’achat.
Certains ont la [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] crise de la quarantaine un peu tardive. L’hypermarché fait la sienne à 50 ans. Ce concept inventé par Carrefour le 14 juin 1963 avec l’ouverture d’un premier ?grand magasin libre service? à Sainte-Geneviève-des-Bois (Essonne) est en pleine introspection.
Même si l’hypermarché n’a jamais été aussi présent dans notre environnement, force est de constater que le chef-d’?uvre de Marcel [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] Fournier, l’un [url=http://www.americatownmovie.com]jordan pas cher[/url] des fondateurs de Carrefour, est en péril. Les plus [url=http://www.6hgxjw.com/home.php?mod=space&uid=0][/url] [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] optimistes se rassurent en constatant que plus de neuf Fran?ais sur dix fréquentent une fois par mois un hypermarché. C’est [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] vrai qu’il faut faire preuve de beaucoup de militantisme anti-consumériste pour éviter l’un des 1900 magasins de plus de 2500 m2 (selon la définition officielle), qui maillent l’Hexagone. Devenu incontournable, l’hypermarché n’en est pas moins remis en question par une société fran?aise qui a subi une profonde mutation depuis les Trente Glorieuses.
Ses contempteurs l’ont enterré, peut-être un peu trop vite. Certains ont tenté de le réenchanter, comme si la grande distribution était un conte de fée. D’autres enfin ont fait comme si de rien n’était, comme si le temps n’avait pas de prise, comme si Georges Pompidou était encore à l’Elysée, la croissance à plus de 5% et l’essence à moins d’un franc. Suicidaire.
Depuis, le désamour des Fran?ais pour l’hypermarché n’a cessé de grandir: un sur deux a une mauvaise image de la grande distribution, selon [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] l’Observatoire Société et Consommation! Faire ses courses est désormais considéré comme une corvée. Et la grande surface est devenue le symbole d’une consommation décalée avec les aspirations d’une société [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] [url=http://7liuxue.net/home.php?mod=space&uid=4286][/url] qui cherche à s’affranchir [url=http://www.sijidoudou.com/home.php?mod=space&uid=152714][/url] de la massification. Mais le Fran?ais est un être compliqué. Lorsqu’on lui parle de ?sa? grande surface, celle dans laquelle il accepte de se rendre régulièrement envers et contre tout, l’opinion reste encore largement positive. L’espoir fait vivre.
Ce n’est pas un hasard si ceux qui ont le moins perdu l’ADN du concept d’origine, des prix bas et une adaptation permanente à [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] la zone de chalandise, continuent [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] à cro?tre. Ainsi, chez Leclerc, la crise de l’hyper, conna?t pas. Carrefour, après avoir perdu ses repères est en train de les retrouver. Toutefois, il faut se faire une raison, à cinquante ans, on ne fera plus ce que l’on faisait à vingt, du moins pas de la [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan pas cher[/url] même manière. Reste la foi: Sainte Geneviève priez pour nous!