clkelyqld2
Top Gun
Joined: 10 Aug 2013
Posts: 7099
Read: 0 topics
Warns: 0/5 Location: England
|
Posted: Sun 5:47, 22 Sep 2013 Post subject: ugg pas cher Le rendez-vous raté de la lutte cont |
|
|
Irréaliste ! Huit ans après décrété cette [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] urgence mondiale, les gouvernements ont beau jeu de dénoncer un objectif perdu [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] d'avance, faute d' été défini avec précision et de des bons outils pour un véritable état des lieux et le chemin parcouru. Du c?té des scientifiques, le discours est très semblable.
Les scientifiques continuent, eux, de se sur "cette maison qui br?le", pour la formule lancée par le président de la République, Jacques Chirac, à la tribune du Sommet de la Terre de Johannesburg, en 2002, tout en reconnaissant qu'ils n'ont pas réussi à de l'urgence d'.
Le [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] bulletin de santé de la biodiversité mondiale, qui sera officiellement dévoilé au mois de mai, à l'occasion de la publication des "Perspectives mondiales de la biodiversité", montre que les cinq pressions majeures exercées sur la diversité biologique "sont restées constantes, voire ont augmenté" par rapport au diagnostic établi en 2006.
"La biodiversité est un ensemble multiple, complexe, qui reste très inégalement connu et compris", reconna?t l'écologue . "Notre connaissance est très fragmentaire, tant sur la distribution que sur l'évolution de la biodiversité", [url=http://thisoldworkshop.com/index.php/forum/newtopic]giuseppe zanotti pas cher Une affaire saisissante[/url] confirme , directeur de la base de données sur la conservation des espèces du Programme des Nations unies pour l'environnement.
L'économiste indien a été chargé par le PNUE de ce travail, en évaluant le co?t économique que représente la perte de la biodiversité, mais aussi la richesse qu'elle assure. Le rapport final qu'il présentera à Nagoya est déjà considéré comme le pendant du rapport Stern sur l'économie du changement climatique.
Pour l'Année internationale de la biodiversité, les responsables de la Convention sur la biodiversité biologique (CBD) des [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] Nations unies, chargés aujourd'hui de le bilan, n'ont pas sorti les flonflons. Il n'y a, en effet, pas de [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] quoi . Aucun pays n'est au rendez-.
des mesures pour l', selon le décompte établi par Jean-Patrick Le Duc, du Muséum national d'histoire naturelle.
Face à cette montagne d'incertitudes, "pourquoi devons-nous être inquiets face à l'érosion de la biodiversité ?", s'interrogeait, en forme de provocation, , de l'université d'Oxford, dans une récente conférence à l'Académie des sciences. Pour lui, la [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] réponse ne fait aucun doute : "Si les mammifères et les oiseaux sont représentatifs de l'ensemble de la diversité biologique, nous savons alors qu'au cours des cent dernières années les rythmes d'extinction sont 100 à 1000 fois supérieurs à ce que nous avons pu sur l'évolution des 500 derniers millions d'années. Et c'est le genre de situation qui caractérise les cinq grandes crises d'extinction du passé."
"Par [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] rapport au climat, nous avons vingt ans de retard dans la prise de conscience", constate , de l'Institut du et des relations internationales. Pourtant, les experts de la biodiversité ont aussi commencé à la sonnette d'alarme au début des années 1980. Mais, à la différence du climat, il n'existe pas un indicateur synthétique – la concentration de CO2 dans l'atmosphère – pour l'aggravation de la situation.
2020 est l'année souvent évoquée. Il en sera débattu lors de l'Assemblée générale des Nations unies, à , en septembre, puis à la conférence des parties de la Convention sur la diversité biologique, en octobre, à Nagoya, au .
En 2010, il est néanmoins question de se un nouveau rendez-vous pour le rythme d'extinction des espèces et la destruction des écosystèmes que les scientifiques jugent aussi mena?ants pour l' de l'humanité que le changement climatique. Les deux sont au demeurant étroitement liés.
Mais, au lendemain de l'échec de la conférence mondiale sur le à Copenhague (7-18 décembre), la prudence et le doute se sont immiscés dans les esprits. La directrice des biens publics mondiaux au ministère des , Laurence Tubiana, s'interroge sur la stratégie : "Est-ce vraiment la bonne chose à ? Cela ne risque-t-il pas de décrédibiliser un peu plus le processus de gouvernance mondiale ?", demande-t-elle.
DERRI?RE LES ESP?CES, IL Y A DES ?COSYST?MES, DONT LES HOMMES D?PENDENT
Le baromètre mondial de la biodiversité que constitue la liste rouge des espèces menacées, établie chaque année par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), reflète ce tropisme. Sur les 47 677 répertoriés, 20 % sont des mammifères, 0,06 % des insectes.
Cette valorisation [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] de la biodiversité permettra-t-elle aux gouvernements de de l'incantation [url=http://cgi.www5f.biglobe.ne.jp/~gifu/honey/honey.cgi]peuterey outlet Lauri Reamer [/url] à l'action ? C'est l'espoir que mettent les scientifiques dans ce gigantesque travail. Si l'objectif 2010 n'a pas été atteint, ce n'est pas faute de ce qu'il aurait fallu . Beaucoup [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] d'expériences et de connaissances ont été accumulées sur le terrain. Les solutions existent. Mais, pour être mises en ?uvre, elles supposent une forte volonté , qui jusqu'alors a fait défaut.
A ce jour, environ 1,7 million [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] d'espèces ont été [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler[/url] décrites, sur un total généralement évalué à 10 millions. Mais les estimations varient dans une fourchette de 2 à 100 millions. Si la recherche s'est concentrée sur les espèces auxquelles les hommes sont les plus sensibles – les oiseaux, les mammifères –, les invertébrés ont été très peu étudiés. Ils constituent pourtant l'essentiel des espèces restant à .
Question de vocabulaire aussi : ce mot, né en 1986 aux Etats-Unis dans un forum organisé par l'Académie nationale des , reste, par exemple, incompris de deux tiers des Européens, selon une récente de l'Agence européenne de l'environnement. Cela n' pas.
Ces pressions sont le changement d'affectation des sols qui transforme les espaces naturels en surfaces agricoles ou en villes, la surexploitation des ressources, les , la progression des espèces invasives et le changement climatique.
Et, derrière les espèces, il y a des écosystèmes, dont les hommes dépendent [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs/epad.cgi]moncler sito ufficiale CERI [/url] bien plus qu'ils ne l'imaginent pour leur quotidien. En [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] 2005, le rapport sur "L'évaluation des écosystèmes pour le Millénaire", réalisé par plus de 1 400 scientifiques, avait conclu que 60 % des rendus par la nature étaient dégradés.
PRUDENCE ET DOUTE
The post has been approved 0 times
|
|