www.theplague.fora.pl

clkelyqld2

C'est un panneau discret, presque anodin, placé en contrebas [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] de la [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] départementale 399, à hauteur de Nimaibashi, sur la commune d'Iitate dans la préfecture de Fukushima. Un panneau au message positif, évoquant, vendredi 15 juillet, "une opération pour un retour à la terre natale".
A Iitate se pose le même problème. Br?ler les plants récoltés se traduirait par de nouvelles émissions radioactives. D'où l'idée de réduire leur volume en les décomposant avec des bactéries, puis de ce qui reste comme un déchet nucléaire. Tout cela reste [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] expérimental. Le retour des habitants sur leur terre demeure encore hypothétique.
Le Monde.fr a le plaisir de vous la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en
La plantation de tournesols est l'une des expériences de phytoremédiation, autrement dit de dépollution, par les plantes décidées pour décontaminer les sols.
Diligentée par le ministère de l'agriculture, la préfecture de Fukushima et le village d'Iitate, l'opération a pour but, explique l'un [url=http://www.zygtj.cn/wM_GuestBook.asp]hollister[/url] des responsables du projet, , de "réduire la quantité de césium dans le sol".
Mais ce genre d'opération a ses limites, car le travail du sol se traduit par une nouvelle contamination aérienne, une modification de la répartition des radionucléides et, au final, par la production d'un nouveau type de déchet nucléaire.
Ce qui a incité les autorités à évacuer les 6 000 habitants de la commune. A la mi-juillet, une centaine restait "en attente d'un logement", selon la mairie, où travaillent encore 5 des 80 employés alors que, dehors, un panneau électronique indique 4 microsieverts par heure (35 millisieverts en un an).
Retour hypothétique
La tombée au mauvais moment a fait s' les particules radioactives sur les rizières, les maisons et les forêts. Dans certains coins d'Iitate, les niveaux de radiations atteignent 80 microsieverts par heure, soit plus de 700 millisieverts en un an, alors que le [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] seuil de risque avéré de se [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] situe à 100 millisieverts par an.
"Quand les tournesols fleuriront, nous les arracherons, puis nous évaluerons la quantité de césium captée", précise M. Egawa, avant de que "des expériences similaires, avec du tournesol ou d'autres plantes, ont été menées dans la [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] région de Tchernobyl avec des résultats positifs".
A son pied poussent des rangées de tournesols sur une parcelle bien entretenue qui contraste avec les terres alentour. En jachère, elles ont été laissées à l'abandon par les agriculteurs contraints au départ après l'accident de la centrale de Fukushima, à une quarantaine de kilomètres de là, et que l'on peut par temps clair depuis les hauteurs de Nagadoro, dans le sud de la commune.
A Iitate, il faudra beaucoup de tournesols pour améliorer la situation sanitaire des sols. Car les caprices de la [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] météo ont voulu que le village se trouve sur la route des nuages radioactifs émis lors des explosions survenues [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] à la centrale.
Le tournesol a été choisi, car il capte aussi au cours de [url=http://www.frbiz.com/products/j-37177487/ipad_cover_cgi_005.html]giuseppe zanotti sneakers An [/url] son développement de grandes quantités de césium radioactif. Sa structure est similaire à celle du potassium utilisé dans les engrais.
Ainsi l'ONG japonaise Tchernobyl-Chubu, basée à Nagoya, mène depuis 2007 [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] une opération à Narodichi, dans la province ukrainienne de [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] Zhytomyr, où la contamination des sols au césium 137 peut 555 000 Bq/m?. Dans le cadre du projet Nanohana, l'organisation utilise du colza qui, [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] une fois récolté, est utilisé pour du biocarburant, qui ne contiendrait plus que 0,004 % du césium 137 extrait [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] du sol, et du biogaz.
A Nimaibashi, les scientifiques ont relevé dans la terre 3 334 becquerels de césium par kilo (Bq/kg). Outre la plantation de tournesols, les autorités mènent des expériences avec de l'amarante et du colza, sur différents [url=http://www.liangniutuan.com/viewthread.php?tid=56911&extra=]ugg pas cher After I Was A Little Child, I Constantly Loved Building Forts[/url] sites d'Iitate et du village voisin de Kawamata, où la contamination peut les 30 000 Bq/kg. Ils travaillent aussi sur le drainage des sols avec une eau enrichie en zéolithe, un minéral capable d' du césium.

clkelyqld2 · Posted: Sat 16:33, 21 Sep 2013 Post subject:

Pour éviter que leur monnaie ne s'apprécie trop dans le premier cas, et qu'elle ne s'effondre dans le second, ils accumulent des réserves de change, aux deux tiers en dollars. Celles-ci représentaient 6 % du produit intérieur brut (PIB) mondial il y a dix ans, 15 % aujourd'hui.
Reste que l'ambition est légitime. Elle implique de [link widoczny dla zalogowanych] quatre questions. La première est celle des rapports de change. Depuis plusieurs décennies, les monnaies des pays avancés flottent entre elles, mais ce n'est que très partiellement le cas pour les pays émergents ou en développement : beaucoup se sont liés au dollar, d'autres à l'euro.
Cette règle évite [link widoczny dla zalogowanych] les surréactions du taux de change, mais elle est [link widoczny dla zalogowanych] insuffisante en période déflationniste : la Réserve fédérale américaine (Fed) fait , non sans arguments, que l'"assouplissement quantitatif" qu'elle conduit - l'injection de 600 milliards [link widoczny dla zalogowanych] de dollars de liquidités dans l'économie nationale - est compatible avec la stabilité des prix ; les Européens le jugent non coopératif.
Il faudrait donc réaménager le système. La pierre de touche est ici le régime de change du yuan. Pékin sait qu'il n'est pas soutenable, mais répugne à le .
C'est pourquoi , le président de la Banque mondiale, vient de de un r?le à l'or. L'idée est absurde - Keynes parlait de "relique barbare" - mais le problème est réel.
Le deuxième problème est de les politiques nationales pour éviter la tentation d' son ch?mage ou son inflation. En régime d'étalon-or, la discipline était [link widoczny dla zalogowanych] automatique. En changes flottants, elle [link widoczny dla zalogowanych] ne l'est pas. Une règle implicite s'est imposée, selon laquelle chaque banque centrale agit à sa guise, pourvu que la stabilité à moyen terme de l'inflation soit assurée.
Il faut donc ce que le jargon appelle une surveillance. C'est le r?le du Fonds monétaire international (FMI), mais son mandat est de , pas de [link widoczny dla zalogowanych] ; c'est aussi celui du G20, mais ni les Etats-Unis ni les émergents n'ont d'appétence pour les disciplines collectives.
L'économiste américain a comparé un régime monétaire à une constitution , parce qu'il fixe les règles du jeu. La comparaison [link widoczny dla zalogowanych] fait sens. Mais réformer l'ordre monétaire international s'annonce singulièrement plus ardu que d' la Constitution fran?aise !
avait lui-même écrit le prologue à sa présidence du G20, il n'aurait pas fait mieux. A l'approche du sommet de Séoul des 11 et 12 novembre, [link widoczny dla zalogowanych] le chaos monétaire mondial et les controverses qu'il suscite n'ont fait que s'. Alors que les intentions fran?aises avaient initialement été accueillies avec scepticisme, les événements sont venus la priorité donnée à la réforme du système monétaire (SMI).
La t?che n'est pas facile. Le sujet est abscons. Personne ne s'y intéressait plus depuis vingt ans. Les [link widoczny dla zalogowanych] Américains, pour qui réforme du SMI signifie déclin du r?le du dollar, manquent d'enthousiasme, et les Chinois, qui ont relancé le thème, d' précises. Quant aux Européens, ils sont accaparés par leurs problèmes internes.
Or les changes fixes débouchent souvent sur des sous-évaluations (comme en ) ou des [link widoczny dla zalogowanych] surévaluations (comme hier en ). De plus, la cohabitation entre régimes de change est malaisée parce que la volatilité tend à se sur les monnaies flottantes (l'euro et, récemment, les monnaies latino-américaines).
Cette accumulation freine la demande et a été l'une des causes sous-jacentes de la crise. Pour y [link widoczny dla zalogowanych] fin, il faudrait l'auto-assurance inutile en garantissant l'accès à des lignes de crédit internationales en cas de retrait brutal des capitaux privés. Le FMI a commencé de le en créant des facilités de crédit non assorties de [link widoczny dla zalogowanych] conditionnalité stricte. Mais la plupart des pays, surtout en Asie, continuent de préférer une auto-assurance co?teuse à une mutualisation per?ue comme incertaine.
Le quatrième problème est celui de l'ancrage collectif. Les banques centrales se préoccupent de l'inflation qui se crée dans leur pays. Du coup, l'inflation globale, qui résulte aussi de la hausse des prix des , est mal contr?lée. Ce n'était pas grave dans l'environnement désinflationniste de [link widoczny dla zalogowanych] la dernière décennie, ?a l'est davantage dans un contexte de hausse des prix des produits de base.

Le troisième problème est celui de la liquidité internationale. Les flux financiers sont très volatils. Un jour, les émergents sont submergés par les entrées de capitaux, le lendemain, ils font [link widoczny dla zalogowanych] face à des retraits brutaux.