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"Demain, il me faudra prendre [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich sito ufficiale[/url] un taxi pour aller travailler. Mais je me sens quand même plus en sécurité dans les rues", estime également [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] Hachem Mohamed Hanoun, un vendeur [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister[/url] de vêtements interviewé au volant de sa voiture.
La capitale irakienne a été la cible d'une vague d'attentats à la voiture piégée, à un rythme quasi hebdomadaire tout au long de l'été, et ce malgré un [url=http://wyqc.cn/home.php?mod=space&uid=25366][/url] déploiement massif de forces de sécurité.
Les autorités affirment que la mesure est temporaire mais l'interdiction de 2005 est restée en place six ans.
La mesure vise à mieux contr?ler les voitures suspectes aux barrages filtrants pour faire échec aux poseurs de bombes.
Une mesure de circulation alternée avait déjà été mise en place à Bagdad en 2005 pour tenter de contrer une flambée de violence qui s'était transformée en une guerre confessionnelle de plus de deux ans entre sunnites et chiites.
Depuis samedi, les voitures de particuliers ne peuvent circuler qu'un jour sur deux, sur la base du dernier numéro --pair ou impair-- de leur plaque minéralogique.
"J'avais l'habitude de passer le pont en voiture, c'était plus facile et plus rapide", confie Dhia Nadhim, employé de magasin qui compte désormais sur un batelier pour traverser le Tigre.

Les six [url=http://www.agentparadise.com]woolrich sito ufficiale[/url] millions d'habitants de la capitale sont très dépendants de leurs voitures en raison du manque de transports en commun, et les embouteillages sont d'autant plus nombreux que les barrages filtrants créent des goulots d'étranglement.
Pour, Jabar Khalaf, un chauffeur de minibus de 43 ans, la mesure peut toutefois contribuer à améliorer la sécurité.
Bagdad (AFP)

Le batelier, Hicham Ahmed, 21 ans, se félicite lui de la venue de nouveaux [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] clients.

"C'est un fardeau de plus. Les rues restent les mêmes, la circulation est la même. Ca ne résout [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister outlet[/url] rien et je ne pense pas que cela améliore [url=http://www.bjfjtea.cn/uch/space.php?uid=18332&do=blog&id=11296]abercrombie La conductrice d'un scooter se tue à[/url] la sécurité", affirme Abdoul Khader [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] Saad, un marchand de roses de 37 ans.

Les contrevenants [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich outlet[/url] sont passibles d'une amende de 30.000 dinars (25 dollars), et leurs voitures sont expédiées à la fourrière.

Les taxis, camions, autobus, et minibus gardent le droit de rouler tous les jours. Tout comme les voitures du gouvernement, et celles des médecins, juges, professeurs d'université et journalistes, des exceptions qui irritent le reste de la population.

"Avec moins de voitures dans les rues, on pourra mieux les contr?ler" aux nombreux barrages filtrants érigés partout [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] en ville, dit-il.

"Vous ne pensez pas que quelqu'un qui veut faire exploser une voiture piégée peut le faire tout aussi facilement un jour pair qu'un jour impair?", dit Ali Jamil Ahmed, un fonctionnaire à la retraite.
Pour limiter le risque d'attentats à la voiture piégée, les autorités irakiennes ont mis en place une circulation alternée à Bagdad, mais de nombreux habitants n'y voient qu'une contrainte de plus dans un quotidien déjà difficile.
"Maintenant, je dois garer ma voiture de ce c?té de la rive et payer 1.000 dinars (0,85 [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] USD) par traversée. Et une fois de l'autre c?té, il me faudra encore prendre un bus ou un taxi pour aller jusqu'à mon travail", ajoute-t-il.
"J'avais pour habitude de venir au marché en voiture pour transporter ma marchandise. [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] Maintenant il va me falloir prendre un taxi", ajoute-t-il.
Un chauffeur de taxi, Adel Karim, s'inquiète pour sa part des problèmes que l'interdiction pose à la population à quelques jours de la rentrée scolaire.
Les [url=http://bbs.febtit.com/home.php?mod=space&uid=72479][/url] extrémistes "peuvent faire tout ce qu'ils veulent. Ils peuvent aussi simplement venir à pied et [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] se faire exploser", ajoute-t-il en parlant des attentats suicide.
Avant, "je gagnais peut-être 10.000 dinars (8,5 USD) par jour, maintenant ?a peut aller jusqu'à 25.000 (21 USD)", dit-il.