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clkelyqld2 · Posted: Tue 8:09, 17 Sep 2013 Post subject: hollister Merci patron !

Motivé(e) ? "En temps de crise, la rémunération reste l'un des leviers [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] de [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] motivation les plus importants", écrit , [url=http://www.birthome.cn/uchome/space.php?uid=108787&do=blog&id=6497]hollister france Les créanciers ne font pas la lo[/url] qui me dispense ses "conseils pour à une négociation gagnante". Pour résumer, je dois que le rapport de force soit en ma faveur, un bien disposé, ma demande par rapport à l'entreprise – pas de "Mon loyer a augmenté" ! – en avant mes réalisations et bien s?r préparer mon contre-argumentaire sans chantage ni menace. Et le meilleur pour la fin : ne pas un "non" comme réponse définitive. Bien lu, patron ?
" n'avez rien à , tout [url=http://www.americatownmovie.com]air jordan pas cher[/url] à gagner", estime , "créateur de richesses". Son engageante promesse ? "Me d' la liberté financière". Comment mon salaire ? [url=http://www.tarao.com/cgi-bin/resbbs/resbbs.cgi]barbour uk outlet La protecti[/url] Pour [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] lui, trois options : dans la caisse, du matériel ou promotion canapé. D'autres suggestions, M. Fillon-Ducret ? "Il faut bien réfléchir à ce que ?a [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] veut [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] une augmentation de salaire." Pour moi, c'est tout vu. Pour lui, "1 euro de salaire net en plus, [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] c'est 2,20 euros de charges supplémentaires pour l'entreprise. Tous les mois, toutes les années jusqu'à la fin de votre contrat". Tente-t-il de me , voire de me ? Conclusion, il faut "penser gagnant-gagnant" et "proposer d'en plus". Encoooore ?
Un peu [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan pas cher[/url] de lest ? Les fran?aises [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] prévoient d' en moyenne 3 % d'augmentation salariale en 2012, selon le . Cette année, c'est décidé, je demande une augmentation ! Et pas question de à travers les mailles du filet [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] ! N'est-ce pas Corine, qui écrit sur : "Aujourd'hui, je demande à mon patron une augmentation, ce qu'il accepte avec plaisir. Plus tard, il revient me avec un nouveau [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] contrat et une augmentation de huit heures hebdomadaires, [url=http://petsless.com/forum/discussion/17021/hollister-pas-cher-mondial-2011-le-japon-de-u-litalie-y-croit]hollister pas cher Mondial 2011 le Japon dé u, lItalie y croit[/url] pour le même salaire. VDM" [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] ?

clkelyqld2 · Posted: Wed 1:36, 18 Sep 2013 Post subject:

Malgré la forte mobilisation en faveur des survivants, la présence de pillards et la volonté des sinistrés de rester près de leurs anciennes demeures limitent l'efficacité de l'aide. Bam (Iran), envoyée spéciale. Les sinistrés veulent rester près de leurs maisons. C'est là un paradoxe, mais aussi la principale difficulté pour ceux qui organisent l'aide dans la ville de Bam, traumatisée par le tremblement de terre de vendredi 26 décembre : alors que des villes de toile bien équipées installées dans les faubourgs de la ville sont toujours vides, les rescapés ont tous choisi de camper sur les ruines de leurs habitations. La ville est littéralement recouverte des grandes tentes blanches du Croissant-Rouge iranien. Elles sont installées sur les terre-pleins centraux des grandes avenues, regroupées parfois sur les restes d'un ancien b?timent public et surtout dressées ici ou là, sous une charpente en métal restée intacte ou à c?té d'amas de pierre et de sable, seuls signes visibles des habitations détruites par le cataclysme. Cette attitude complique le travail des secours, qui peinent à localiser les victimes et à identifier leurs besoins. Du coup, de nombreux rescapés manquaient encore ce week-end de tentes et de couvertures pourtant indispensables dans cette ville où la température peut tomber la nuit au-dessous de zéro. Mais rien n'y fait. Ainsi a-t-il fallu déployer des trésors de diplomatie pour convaincre un groupe de femmes - l'une d'elles, le bassin fracturé, campait encore samedi soir près d'un feu [link widoczny dla zalogowanych] à même le sol -, d'aller s'abriter dans le dispensaire de la Croix-Rouge. Ce cas n'est pas unique. Ici, c'est un homme parti accompagner sa femme malade à l'h?pital de Kerman, à 180 kilomètres, et qui au retour n'a pu trouver d'abri. " Quand ils font leur distribution, moi je ne peux pas aller sauter sur les camions comme font les autres ", explique-t-il. D'autres, comme les vieux parents de Vahid Nya, un homme d'une cinquantaine d'années, ont bien une tente, mais ils n'ont re?u aucun soin et ne disposent pas de chauffage. " Mes deux parents n'ont rien, ils n'ont vu personne ", s'inquiète-t-il. Les plus démunis sont ceux qui se sont installés dans les petites artères, les axes principaux étant maintenant bien sillonnés par les secours. L'espoir de retrouver des survivants empêche les sinistrés de quitter ces campements de fortune pour un ciel plus clément. Même si, de l'avis des professionnels de la protection civile, les chances sont quasi nulles de découvrir des rescapés sous les décombres plus d'une semaine après le drame. Samedi, une jeune fille de dix-neuf ans a cependant encore été trouvée sous les décombres et, quelques jours auparavant, c'est une vieille femme de plus de quatre-vingts ans qui a pu être secourue. Ces cas, même rarissimes, entretiennent l'espoir. Et puis il y a le deuil. Les habitants de Bam veulent retrouver leurs [link widoczny dla zalogowanych] morts et leur donner une sépulture. Ils restent habités uniquement par la douleur de la perte. " Sur dix personnes de ma famille proche, j'en ai perdu cinq, et, [link widoczny dla zalogowanych] sur la famille élargie, ce sont 250 personnes qui ont disparu ", hurle un vieil homme près de l'ancien bazar de la ville. Il pleure, lève les mains au ciel, et déverse sur la première oreille attentive toute la détresse accumulée depuis des jours. Là, c'est une femme pliée en deux sous le poids des années qui déambule sans porter la moindre attention à la sandale qui lui manque " Il y a tellement de morts, [link widoczny dla zalogowanych] tellement de morts [link widoczny dla zalogowanych] ", ?nonne-t-elle le regard [link widoczny dla zalogowanych] vide. Les cimetières sont remplis de gens qui tentent de circonscrire les tombes de leurs proches pour les arranger et faire les cérémonies nécessaires, indispensables gestes de réconfort dans cette région traditionnellement très pieuse. Les rescapés tentent aussi de récupérer leurs biens. Des hommes fouillent à mains nues dans les ruines, retrouvant, ici un tapis, là un frigo. C'est tout ce qu'il leur reste, et ils ne veulent pas le perdre. Pas question d'abandonner ?a aux pilleurs, dont chacun a peur depuis leur arrivée en ville aux lendemains du tremblement de terre. " J'ai arrêté un homme avec douze tentes ", raconte un pasdaran (gardien [link widoczny dla zalogowanych] de la révolution) de la région de Yaz, venu sur place. Le problème des profiteurs d'aide est l'autre facteur qui complique l'organisation des secours. Certains viennent pour prendre, faire des affaires. Des rumeurs évoquent les tentes et les couvertures qu'on trouverait déjà au bazar de Téhéran. D'autres " ne sont pas des voleurs, mais des gens très pauvres, et c'est la misère qui les amène à Bam ", explique M. Hemati, un ingénieur informaticien qui confirme qu'on trouve ici des gens venus parfois de plus de 200 kilomètres. Devant un dispensaire, un homme accuse de mensonge deux femmes qui cherchent à se faire soigner. " Il y a eu un tremblement de terre dans notre village, à Narmochir ", se défendent-elles. Situé à [link widoczny dla zalogowanych] plus de deux heures de voiture de Bam, Narmochir n'a pu être touché. Ce problème est d'autant plus difficile à gérer que les habitants des environs de Bam, qui avaient l'habitude de s'approvisionner en ville, n'ont plus rien eux non plus. Mais leur présence a rendu le Croissant-Rouge méfiant. " Êtes-vous s?r qu'elles sont bien de Bam ? ", demande M. Mohaghegh, chargé des relations du CR avec les organisations étrangères, à un membre du Secours populaire venu demander une tente pour des rescapés. À Postroud, un petit village touché par le drame à quelques kilomètres au nord de Bam, une foule d'hommes se pressent devant la grille du dép?t, pourtant plein, du Croissant-Rouge. On crie, on parlemente, l'ambiance est tendue, mais chacun doit donc présenter un papier avec la liste de ce qu'il a déjà re?u pour pouvoir obtenir autre chose. " On essaie de contr?ler ce qu'on donne, parce qu'on a eu des problèmes de pillages, explique le responsable du CR. En plus, on n'en a pas assez [link widoczny dla zalogowanych] pour tout le monde et il y a toujours des gens qui en veulent plus. " Pour faire face, le Croissant-Rouge tente de recenser et d'identifier les sinistrés. Depuis samedi, il a découpé la ville en douze quartiers. Chacun d'eux est géré par le comité du CR d'une région d'Iran, gr?ce au formidable élan de solidarité qui a traversé le pays. Sur le mur du quartier général du CR, un ancien gymnase miraculeusement resté debout, la liste des douze quartiers et de leurs centres de distribution a été affichée vendredi. Des carnets à souches commen?aient jeudi à être distribués, mais en dehors des habitants de Deztour, à l'ouest de la ville, la [link widoczny dla zalogowanych] majorité des sinistrés ignoraient encore samedi leur existence. Malgré toutes ces difficultés, les efforts du CR commencent à payer. Et les réfugiés dépourvus de tentes et de couvertures n'étaient plus hier qu'un petit nombre. Des camions citernes circulent dans la ville, des bouteilles sont distribuées et plus personne ne [link widoczny dla zalogowanych] manque d'eau ni d'alimentation. Les soins de base sont plus ou moins assurés et l'attention peut désormais se porter sur les produits d'hygiène, pour parer aux risques de maladies. Mais une question taraude les esprits : Que vont faire les autorités avec les sinistrés ? Jusqu'à présent elles ont choisi [link widoczny dla zalogowanych] de respecter leur douleur en les laissant s'éparpiller dans la ville. Mais devant l'ampleur de la t?che, elles pourraient décider de les regrouper de force. Elizabeth May

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