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s Internet feraient-elles à nouveau la tête des milieux financiers ?
La machine [url=http://web1121323.1.gimid.com/wygkcn_GuestBook.asp]moncler Wo[/url] à les start-up, complètement grippée entre 2001 et 2004, s'est aussi remise en branle du c?té du commerce en ligne : le vendeur de chaussures Sarenza a ainsi levé 6,5 millions d'euros cette année.
De fait, en tout cas [url=http://www.dzxgtzyj.gov.cn/E_GuestBook.asp]nike air j[/url] en France, c'est la première génération des "web entrepreneurs" qui semble une nouvelle jeunesse. Benjamin Bejbaum, à la tête de Dailymotion, avait créé une "web agency" en 2000. Tarik Krim, fondateur de Netvibes, avait con?u GenerationMP3, un des premiers sites de blogs en France...
Financiers et entrepreneurs font le même constat : aujourd'hui, les internautes n'hésitent plus à [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] en ligne. Du coup, le [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] chiffre d'affaires du secteur explose : il atteindra 12,1 milliards d'euros en 2006, selon la Fédération des de ventes à distance. La diffusion rapide du haut débit (environ 10 millions de clients fran?ais à l'ADSL) explique par ailleurs les audiences exponentielles des sites Web 2.0.
De fait, ces derniers font à nouveau leurs emplettes. "C'est l'acquisition par le groupe News Corp du site américain MySpace, en juillet 2005 pour 580 millions de dollars, qui a redonné confiance aux investisseurs", estime Olivier Protard, de la société de capital-risque [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] Sofinnova.
Un tel exemple de valorisation pour une société en n'est pas isolé. Netvibes, également l'un des sites les plus en vue du Web 2.0 (il permet aux internautes de leur page d'accueil sur le Net), a annoncé cet été la plus importante levée de fonds européenne de ces dernières années pour une société Internet (12 millions d'euros). Mais le site n'est pas rentable et compte comme concurrents rien moins que Yahoo !, ou ...
Fin septembre, le Wall Street Journal assurait que Yahoo ! négociait le rachat du site pour 1 milliard de dollars. Dès 2004, Yahoo ! avait racheté [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] Kelkoo 475 millions d'euros. YouTube serait valorisé entre 600 millions et 1 milliard de dollars, selon le quotidien Post. Netvibes serait aussi sur la liste des prochaines cibles.
Si tous les espoirs des financiers semblent permis, ils ne sont pas dupes. Toutes les start-up ne finiront pas comme MySpace. Il [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] y aura à nouveau [url=http://www.lcdmo.com/hollister.php]hollister france[/url] de la casse, comme en 2000.
Mardi 3 octobre, la société de capital-risque Partech confirmera, lors d'une conférence de presse à Paris, qu'elle a investi 7 millions d'euros au c?té d'une consoeur (Atlas Venture) dans le site Dailymotion (). Une "levée de fonds" qui valorise la start-up entre 15 et 35 millions d'euros.
Les acteurs de la "deuxième vague" sont persuadés qu'une nouvelle révolution de l'Internet est en marche et veulent en être. Leur pari ? leur site à un tel niveau d'audience, modèle économique viable ou pas, qu'il finira par l'appétit des grands groupes de ou d'Internet, prêts à des dizaines, voire des centaines de millions de dollars pour les .
Dailymotion est certes une des stars montantes du Web 2.0., ce concept un peu vague qui englobe les et les rendant aujourd'hui l'Internet plus coopératif qu'à ses débuts. Le site enregistre déjà des audiences impressionnantes : classé dans le top 400 des sites les plus visités au monde, il a dépassé la barre des 10 millions de pages vues par [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] jour, contre 500 [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler outlet[/url] 000 en moyenne six mois plus t?t. Mais Dailymotion ne gagne presque pas d'argent et ses équipes planchent encore sur le modèle qui permettra un jour au site d'être [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] rentable.
Par ailleurs, sur son créneau, la vidéo partagée sur le Web (Dailymotion permet de déposer ou de simplement des en ligne), la concurrence est rude. Le numéro un en audience est l'américain YouTube. En , le groupe de média ProsiebenSat.1 a investi dans Myvideo. En France, Vpod a levé 5 millions auprès de la société de capital-risque Innovaco et TF1 a lancé Wat.tv.
Pour Jérémie Berrebi, [url=http://222.82.245.26/Wygkcn_GuestBook.asp]nike air j[/url] à la tête de Zlio (un site proposant de créer des boutiques personnalisées en ligne), "contrairement à ce qui a pu se pendant la bulle, les financiers n'investissent qu'une fois que la société a lancé son service en ligne. Et les entrepreneurs n'ayant pas d'expérience dans l'Internet n'ont aucune chance de des fonds".
Philippe Collombel, associé chez Partech International, assume le risque pris dans Dailymotion et récuse le terme de "bulle". "La plupart des capitaux-risqueurs ont perdu des plumes en 2000 avec des dans des sociétés qui n'ont pas tenu le choc. Cela les a rendus prudents", assure-t-il.
Aux Etats-Unis, ce que les spécialistes appellent déjà la "deuxième vague" a [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] démarré avec quelques mois d'avance. "Là-bas, il ne se passe plus une semaine sans qu'une levée de fonds ou un rachat soient annoncés", selon Lo?c [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] Le Meur, codirigeant d'Ublog, une plate-forme de américaine. Comme lors de la première, les montants levés sont plus importants qu'en . Jobster, un site d'annonces d'emplois, a collecté presque 50 millions de dollars (39,4 millions d'euros) auprès de financiers depuis 2004...
A part quelques voix divergentes - dont celle de Marc Simonsini, patron du [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister[/url] site de rencontres Meetic, qui craint "qu'on reparte comme en 2000" -, le son de cloche est le même chez la plupart des acteurs fran?ais de la "deuxième vague".